Dans le secteur des TIC, nous constatons une évolution dans l’émergence de nouveaux métiers, dans les big data, l’automatisation, etc. Pour donner un exemple concret, pour tout ce qui était administrateur système, administrateur de bases de données, ce métier va fondamentalement changer. C’est le cas également pour le métier de développeur. Si avant nous avions des personnes pour maintenir des serveurs ou des sites web, qui passaient beaucoup de temps en se connectant et exécuter des vérifications, aujourd’hui plusieurs de ces actions sont automatisées. C’est le serveur lui-même qui se gère en quelque sorte. La valeur ajoutée de l’homme face à la machine doit être naturellement orientée vers d’autres compétences et activités. Pour les nouveaux métiers qui dessineront l’avenir du digital en Algérie, on parle d’administrateur Cloud, architecte Cloud, etc. Ma recommandation pour les étudiants est d’être à la page et de rester informés sur ce qui se fait, ici et ailleurs, et surtout oser se lancer !»