«Cela résulte du fait que nous avons enregistré déjà la saison passée un surplus de 17.000 lits auquel est venu s’ajouter la réception, cette année, de deux nouvelles résidences universitaires de 2000 lits chacune», a-t-il expliqué en affirmant que pour cette rentrée le secteur se trouve totalement à l’aise, «et je pense qu’il en sera de même l’an prochain, puisqu’on nous annonce que les six résidences universitaires en construction dans le pôle universitaire de Zouaghi ont atteint 90% de réalisation. Elles vont être livrées prochainement.
Et si on sait que chacune d’elles a une capacité de 2000 lits on pourra affirmer sans se tromper que l’année prochaine le secteur de l’hébergement dégagera également un surplus important en lits.
Pour le transport et la restauration il n’y a aucun problème, a assuré notre interlocuteur en soulignant qu’il a sous sa responsabilité la gestion de 7 résidences universitaires, 2 résidences de filles et 5 de garçons, dans ce pôle universitaire constantinois composé de quatre grandes universités, de plusieurs instituts et de l’école normale supérieure.
M. Benhizia a évoqué, en outre, le nouveau système «Progress» d’inscription instauré par la tutelle, le ministère de l’Enseignement supérieur et la Recherche scientifique (MESRS), en disant, avec enthousiasme, que ce système «est une trouvaille géniale, car il nous facilite grandement la gestion, que ce soit dans l’hébergement, le transport ou la restauration. Et d’expliquer les vertus de «Progress» en indiquant qu’auparavant l’étudiant se déplaçait et venait de loin pour se présenter à la direction des œuvres universitaires afin de déposer son dossier d’hébergement.
Avec le nouveau système informatique relié à Internet, la réservation de la chambre se fait en même temps que l’inscription à l’université et la décision d’hébergement lui est remise au service de la pédagogie. Avec cette décision il se présente directement à la résidence universitaire où il sera hébergé. «En plus de l’économie des efforts, ce système nous permet d’économiser beaucoup d’argent», a conclu M. Benhizia.