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Recherche scientifique : L’USTHB signe une convention cadre de partenariat avec Naftal

L’Université des sciences et de la technologie Houari Boumediene (USTHB) a signé une convention cadre de partenariat avec la Société nationale de commercialisation et de distribution de produits pétroliers (Naftal).

Recherche scientifique : L’USTHB signe une convention cadre de partenariat avec Naftal

L’Université des sciences et de la technologie Houari Boumediene (USTHB) a signé une convention cadre de partenariat avec la Société nationale de commercialisation et de distribution de produits pétroliers (Naftal), en vue de promouvoir la recherche scientifique et le développement technologique dans le domaine de l’énergie, a indiqué l’université dans un communiqué.

L’objectif ciblé par Naftal dans le cadre de cette coopération est « de contribuer en sa qualité d’acteur économique à l’effort national consenti à la promotion de la recherche scientifique et développement technologique et d’orienter les thèmes de recherches et développement vers des problématiques et des besoins réels de l’entreprise », selon la même source.

« Naftal est consciente de la nécessité de fédérer les connaissances, les savoirs et savoir-faire des deux parties à l’effet de bâtir l’efficacité du processus de recherche et développement sur l’innovation et la production de nouvelles applications et procédés au service de ses enjeux socioéconomiques et de développement durables », a-t-on souligné.

Selon le même communiqué, « le plan de développement pluriannuels » engagé dans le cadre de cette coopération intégrera des thèmes de recherche répondant à des problématiques et des besoins Naftal dans les domaines d’intérêts, à l’instar de la santé et la sécurité des personnes et des biens, du développement des produits et services, de la modernisation des installations et infrastructures de l’entreprise, de l’efficacité énergétique, les énergies renouvelables et la réduction de l’impact du système énergétique sur l’environnement, ainsi que la protection de l’environnement et le développement durable ».

L’étendu des domaines « peut être envisageable par les deux parties sur de nouveaux intérêts communs après concertation et validation », a-t-on noté dans le texte, assurant que cette relation formalisée, « traduit la volonté des deux parties à la promotion de l’économie de la connaissance au service du pays ».

 

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